Hourai Aika
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 that's why i gave up on music | andrew | peekaboo

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soda
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that's why i gave up on music | andrew | peekaboo Empty
MessageSujet: that's why i gave up on music | andrew | peekaboo   that's why i gave up on music | andrew | peekaboo EmptyJeu 7 Mar - 17:31



I’m mistaken, I understand.
I don’t care.


identité

NOM : Shinomiya
PRÉNOM : Andrew.
DATE DE NAISSANCE : 15/08/1990
DATE DE MORT : 08/09/2014
NATIONALITÉ : Japonaise.
LANGUE(S) PARLÉE(S) :
[x] Anglais.
[x] Japonais.
[ ] Autre(s) : __________
RACE : Nécromancien.
PERSONNAGE DE L'AVATAR : Kannonzaka Doppo - Hypnosis Microphone



physique

Couleur de peau : pâle, encore plus que de son vivant. (no joke jpp)
Couleur des cheveux : roux, un peu délavés. Faute d'une potion qui a mal tourné-
Longueur des cheveux : plutôt courts, un dégradé un peu maladroit avec la frange qui lui tombe un peu dans les yeux.
Couleur des yeux : bleus. deuxième potion qui a mal tourné, yes.
Corpulence : très maigre, trop même. une pichenette et on dirait qu'il va s'effondrer.
Taille : 175cm.
Style vestimentaire : toujours le même costume. souvent la même cravate. il a des airs de salaryman lambda. ça veut se fondre dans la masse. le seul détail qui se détache de la banalité de sa tenue, c'est la chaîne qui brille autour de la dite cravate. et l'éventuelle blouse qu'il porte quand il concocte ses produits.
Habitudes : se ronge constamment les ongles. a tendance à se saisir le cou quand il panique. il se le gratte énormément quand il est nerveux. a constamment quelque chose pour s'occuper les mains, stylo, ruban, ou même sa cravate. carbure essentiellement au café.
Autre : ses cernes font tellement parties de lui que plus personne ne fait réellement attention, et pourtant elles continuent de se creuser. c'est un adepte des pansements à des endroits improbables à cause des tournures que prennent parfois ses potions.



précisions

pouvoir : arrive à percevoir et entendre l'aura des gens en une mélodie unique à chacun. les brouhaha crées par les entremêlements de celles-ci le mettent K.O.

Tellement obsédé par le fait de réellement "mourir", que son but ultime est de trouver LA potion qui ne lui accordera pas de seconde chance. Si bien qu'il en oublie de faire le strict minimum pour tenir debout. C'est un nul.

Caractère

Andrew, c'est un enchaînement de mélodies dissonantes. Tantôt mélancolique, tantôt haineuse. Mourantes. Méfiantes. La confiance n'a plus réellement de place dans son cœur, trop encombré par la peur. La rancœur. Envers le monde. Vers eux. Vers lui-même. Tout lui semble faux. Ses yeux lui font défaut. L'affection la plus pure, est remplie d'intentions malsaines. Leurs sourires sont raturés de mensonges. Il ne voit plus l'autre côté de la pièce. Il ne veut plus.

Il les hait. Eux. Une haine si grande. Si imposante. Dont la racine vient du fin fond de son esprit. De lui. Il se hait. Se dégoûte. C'est sa faute. Mais c'est leur faute à eux aussi. Il n'est pas assez bien. Mais ils savent se servir de lui.

C'est sa faute.
Mais c'est la leur.
Il les déteste.
Mais il se déteste aussi.

Des notes constantes bourdonnent dans sa tête. Anxiété. Angoisse. Rejet. Des mélodies qui résonnent si fort, qu'il n'en entend même plus les battements de son cœur. Elles prennent tellement de place, dans sa tête. Elles se bousculent. Tour à tour. Et puis d'un coup.

Le vide.

Une douleur fantôme. Si forte. Et si silencieuse. Ses émotions en sont engourdies. Mais pas suffisamment. Ce n'est jamais suffisant. Son estomac continue de se nouer. Son cœur, de se serrer. Ses dents, de grincer. Son souffle, de se couper. Mais ça ne sort pas. C'est là, au creux de sa poitrine. Mais ça ne sort pas. Il serre son cou. Mais ça ne sort pas. Il veut crier. Mais ça ne sort pas.

Ca ne sort

jamais.

Alors il veut que tout s'arrête. Il a envie de silence. D'un silence complet. Que tous les bourdonnements de sa tête s'arrêtent. Que toutes les mélodies qui l'entourent se taisent. Ça l'obsède. Il en a tellement besoin, que ça en devient presque ridicule. Presque drôle.

Mais un jour, ça sortira. Comme une bombe à retardement. Un jour, ce sera fini. Et il retrouvera ce silence. Il est si fatigué. Si fatigué.


facts : c'était un gros fan de jeux vidéos, de motion design, d'audiovisuel en général ▵ mais il a oublié ▵ ou plutôt, il n'a plus envie ▵ gratte du papier selon les émotions qui le submergent ou celles dont il veut se débarrasser▵ mais les abandonne toujours dans le même tiroir de feuilles volantes ▵ n'assume pas de continuer le piano et la guitare ▵ mais deviendrait fou sans sortir toutes les mélodies qu'il entend ▵ pourrait vraiment se créer une carrière de musicien avec tout ce qu'il sort comme compos dans le mois ▵ hypotension rpz ▵ carbure au café x1000 ▵ le sommeil ? 404 not found ▵ tape souvent le rythme de ce qu'il entend du doigt ▵ c'est totalement un tic nerveux ▵ grignote plus qu'il ne mange ▵ on peut faire le tour de ses poignets en joignant le pouce et le petit doigt ▵ il est obsédé par ses potions ▵ personnalisation du mec qui se défonce au boulot ▵ sait plus aligner deux mots quand il a pas dormi depuis plus de 72h ▵ a un air de scientifique fou quand on le déterre de son labo après quelques jours sans sommeil ▵ en vrai c'est juste un pas doué avec très peu de sens de préservation, aidez-le pls

histoire

C'était flou dans sa tête. Le brouhaha de la station de métro. Les gens qui commençaient à se mettre en ligne. L'annonce de l'arrivée de la rame. Des sons qui se mélangeaient et devenaient une cacophonie sourde à ses oreilles. C'était presque comme s'il n'était pas vraiment là. Les gens commençaient à élever la voix. Puis les bruits de cri, violemment coupés par un bruit sourd qui fut le dernier qu'il entendit. 

--------------------------------------------------

Andrew, s'il vous raconte son histoire, il vous dira simplement que c'est pas grand-chose. Que ça ne vaut pas vraiment la peine d'être raconté, c'est juste sans intérêt. Comme lui.
Ses parents l'aimaient. 
Sa petite sœur l'adorait. 
Mais lui les redoutait. Tous

Andrew, c'est un gamin qui a compris le monde trop vite. D'abord, il faisait de son mieux, avec sa sœur, pour que leurs parents soient contents. Yukari, c'était un rayon de soleil. Elle riait souvent. Souriait toujours. Elle était malade, mais elle faisait de son mieux, elle aussi. C'est ainsi qu'à cause de l'inquiétude constante de ses parents, il décida de fermer son cœur, sa petite boîte à musique, pour que la mélodie de sa sœur se fasse un peu plus entendre que la sienne. Parce que lui n'avait pas envie de se faire entendre. Elle en avait plus besoin que lui. Alors le gamin continuait à faire de son mieux, en silence.

Malgré les pensées intrusives qui commençaient à le ronger. L'angoisse. La peur, de ne pas convenir aux autres. 

En grandissant, il en était venu à refuser de sortir. Trop peur des gens et du son qu'émettaient leurs boîtes. De ce qu'ils pouvaient bien penser. Le stress lui rongeait les ongles et les lèvres. Creusait les cernes sous ses yeux fatigués. Blanchissait sa peau à en voir un malade. Comme si tout se cassait la figure. Et tout était de sa faute. Si sa mère criait contre son père, c'était sa faute. Si son père voulait lui parler en privé, c'était sa faute. Si des mains inappropriées venaient glisser comme un poison sur son corps, c'était sa faute. Si son corps ne lui appartenait plus, c'était sa faute. Si sa sœur ne souriait pas toujours, c'était sa faute. Si la famille tombait en morceaux, c'était sa faute.

S'il avait fait plus d'efforts.
S'il avait osé faire un pas.
S'il était sorti de sa chambre.
S'il n'avait pas fermé sa petite boîte.

Si. Si. Sa vie tenait à peine en équilibre sur des regrets bancals, et il se les traînait à chaque année qui passait. 
Pourtant, il y avait bien une chose qui le faisait tenir. Quand ses doigts dansaient sur le piano, grattaient la guitare, ou tapaient sur son clavier, il se sentait plus léger. Ses compositions venaient du cœur. Des appels de détresse. Ou bien des odes à la lâcheté. Elle l'aidait à passer outre. À lâcher ce qu'il n'arrivait pas à dire autrement. Et elle lui avait permis de le rencontrer, lui. 
Cette personne qui faisait naître de ses sourires, de ses paroles, des partitions si douces. Si mélancoliques. Si légères, que tout lui paraissait si différent dès qu'ils parlaient ensemble. À chaque fois que le garçon l'avait en tête, son cœur s'accélérait doucement, sa respiration se faisait plus lente, son regard moins dur. Elle l'apaisait.

Jusqu'à ce que le seul rayon de soleil de la famille ne finisse par s'éteindre. 

Elle avait rendu son dernier souffle. Mais il ne voulait pas réaliser. Elle lui avait dit 'à demain'. Avec ce même sourire. Ce même éclat. Mais il ne s'était pas retourné. Pour la première fois depuis des années, Andrew avait envie de crier. D'ouvrir sa boîte et de laisser échapper toutes ces années de non-dits. De frustration. De haine. De rage. De désespoir. 
Contre eux. Contre lui. Contre elle. Contre lui-même.
Sans sa sœur, il manquait un côté à la pièce.
Sans elle, il n'était plus rien. 

Mais il n'y parvint pas.

A partir de là, le temps s'est enchaîné à une vitesse folle. La séparation de ses parents, l'enterrement de sa sœur, son diplôme, ses entretiens d'embauche. Sa peur des gens, de l'extérieur, n'était devenue qu'un amas indescriptible d'émotions engourdies qui le laissait spectateur de sa vie. Comme s'il n'était pas réellement dans son corps. Cette drôle impression de se voir bouger et parler, sans aucun contrôle et ressenti. Un pantin qui s'était glissé dans la société.

Il était fatigué. Son visage s'était habitué aux sourires nécessaires du bureau. Il était fatigué. Il avait appris poliment à refuser les sorties entre collègues, malgré ses tremblements constants, dus à ce qu'ils pouvaient bien penser.

Mais il était fatigué

Personne n'aurait pu prévoir ce qui était arrivé. Pas même lui. Ces pensées intrusives se battaient sourdement dans son crâne, comme d'habitude. Il attendait son train, comme d'habitude. 
Le brouhaha de la station de métro. Les gens qui commençaient à se mettre en ligne. L'annonce de l'arrivée de la rame. Des sons qui se mélangeaient et devenaient une cacophonie sourde à ses oreilles. C'était presque comme s'il n'était pas vraiment là. Les gens commençaient à élever la voix. Puis les bruits de cri, violemment coupés par un bruit sourd qui fut le dernier qu'il entendit. 

Celui de son corps contre le véhicule qui arrivait.

--------------------------------------------------

Pas extraordinaire, finalement, qu'il dirait.

Il haïssait cette deuxième vie. Dès son arrivée, il n'en voulait pas. C'est limite s'il n'avait pas fait un doigt au Roi quand il avait aperçu le message sur le mur. (non.) Et l'acquisition de son pouvoir n'avait fait que renforcer sa haine.

Le seul souhait qu'il avait, la seule envie furtive qui avait traversé son esprit, lui fit vivre un cauchemar.



Le coup de l'impulsion. Andrew s'était senti si con. Mais si con.  La musique avait tenu une trop grosse partie de sa vie, il était juste incapable de s'en débarrasser d'un coup.  Il se tenait alors devant un piano acheté, flambant neuf et accordé. Toutes les insultes lui passaient à travers l'esprit. Finalement, après maintes lamentations, il passa la journée à jouer. Jusqu'à sentir ses doigts le brûler tellement ils finirent crisper sur les touches.
C'est aussi ce jour-ci que, sa tête se mit à entendre des partitions qui s'entremêlaient, dans une cacophonie assourdissante, lorsqu'il était entouré. Des mélodies propres aux êtres autour de lui, qui se bousculaient et lui donnaient des migraines si grandes qu'il en devenait incapable de sortir du lit. Comme si tout ce qui était remonté à cause du son de l'instrument avait déclenché une réaction.



Qui eut crû que la seule chose qu'il avait désiré, l'avait conduit à détester encore plus cette vie ?

A ce jour, il exècre encore ce pouvoir. Entendre les mélodies des autres à son insu, se faire bourrer le crâne de sons, de choses qui lui rappellent le passé, ce n'est même pas une option. C'est comme une punition pour n'avoir jamais parlé. Pour n'avoir jamais cherché à comprendre les autres. Il les appréhende de par la chanson qu'ils émettent. Mais il ne veut pas. Andrew veut juste reposer dans le silence éternel. 
Alors il travaille d'arrache-pied. Il va la trouver, cette potion qui le fera vraiment mourir, sans lendemain. Et alors peut-être, à ce moment précis, sera-t-il satisfait d'être passé de l'autre côté. Pour le quitter définitivement.


derrière l'écran

PRÉNOM/surnom : soda. ovo)b (je tiens à m'excuser pour mon fils emo, il est vraiment pas doué sobs)
AGE : j'ai 21 ans et déjà les maux de dos de personnes âgées, y e s
Comment t'es arrivé sur PaB ? c'est totalement polka qui m'en a parlé eheh.
Le smiley que tu préfères ici ? Texte
Tes mangas préférés ? alors j'regarde plus d'animes style zankyou no terror, hyouka, fate, occultic;nine, mais en mangas récemment j'ai beaucoup aimé éclats d'âme, koi ni mo naranai, grainelier, natsume yuujinchou, bungou stray dogs, tout ça. èwé)b (et aussi si y a des joueurs de granblue fantasy, fatego ou bang dream, wink wonk :3c)



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