Hourai Aika
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ok l'ancienne version était peut-être mieux :srs:
 
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 kprpg - ryuuzaki ayato

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AuteurMessage
soda
All hail Soda-sama
soda


Messages : 164
Date d'inscription : 24/06/2012

kprpg - ryuuzaki ayato Empty
MessageSujet: kprpg - ryuuzaki ayato   kprpg - ryuuzaki ayato EmptyMar 24 Mar - 1:30

stars only shine when they're set against the night.
nom ▬ ryuuzaki
prénom ▬ ayato
sexe ▬ he's a bro /paf
surnom ▬ ryuu-chii, aya', sparkles-kun
âge ▬ 17 ans et quart
date de naissance ▬ 18/04
orientation sexuelle ▬ il s'en fiche totalement :srs:
groupe sanguin ▬ B-
occupation ▬ lycéen et violoniste
groupe ▬ sans capacité
nom de la capacité ▬ description de la capacité
cause de mort ▬  ici

__________

prénom/pseudo ▬ soda ou sodaru ww
âge ▬ 16 trois quart :srs:
sexe/genre ▬ agender haha-
comment as-tu connu le forum? ▬ je me le demande :srs:
comment tu le trouves? ▬ LTM. juste. LTM
doubles comptes? ▬ eer- kitamura rui aka phantom-kun et motoharu aoki aka homoharu gayoki (thanks oxy)
faceclaim/avatar ▬ mochizuki souta | honeyworks
autre ▬ je suis une canette magique :srs:
« Je suis encore en retard, mais noooooooon ! »

C'est ta phrase typique du matin, ça. Tu pars toujours à la dernière minute, tartine beurrée dans la bouche parce que le matin, ça te connaît pas. Et ouais, Ayato, t'es quelqu'un de très distrait et rêveur. Il suffit que tu penses à quelque chose et tu peux y passer des heures entières sans t'en lasser ! Bon, du coup, le retard aussi ça te connaît, et pas qu'un peu. Mais passons ! Tu es plutôt énergique – ce qui tranche pas mal avec ton meilleur ami du coup, tu te lèves peut-être assez tard, mais au moins, l'énergie gagné te tient debout jusqu'à la fin de la journée – ce qui peut paraître assez fatiguant. Pourtant, une fois en public, surtout avec des gens que tu ne connais pas, tu restais parfaitement … Normal. Surtout dans les transports en commun, à l'école, tout ça. Tu passais pas vraiment inaperçu – qui passerait inaperçu avec un étui de violon bariolé de porte-clés et stickers partout, mais tu tentais tant bien que mal de ne pas trop extérioriser l'énergie que tu avais besoin de dépenser.

Cette énergie d'ailleurs, tu la dépensais en sport (enfin tout était relatif, les sports que tu avais le droit d'exercer) – t'étais une bille en étude- ouais, les cours et toi ça collaient pas, t'étais trop focalisé sur ta passion mais pour le sport ça allait (malgré ton asthme), surtout pour le hand et le volley (qui n'étaient pas bon pour ton coeur haha-) en fait, et surtout, SURTOUT en musique. Parce que tu jouais du violon. Et rien que ça, ça puisait ta source d'énergie à 1000%. En plus, te te donnais toujours à fond, parce que tu étais vraiment passionné. Le violon, c'était ton meilleur moyen d'extérioriser tes sentiments – et c'était un très bon instrument pour cette fonction. Pas que tu étais du genre à déprimer – enfin si, comme tout le monde, mais tu réfléchissais peut-être un peu trop ou pas assez, selon le contexte, et ça te bloquait sur pas mal de choses. C'était futile comme situation, la plupart du temps, mais à tes yeux, c'était bien plus compliqué qu'il n'y paraissait. C'est pour ça que ton instrument t'étais précieux et que tu le trimballais partout. Parce que, quand tu ne savais plus quoi faire, tu en jouais, et tout semblait plus clair. C'était magiiiiique. Ahem. Même si t'étais assez sujet au stress permanent et que parfois, pouf, tu tombais dans les pommes après quelques vertiges. Joie.

Plutôt sociable, tu connaissais un peu beaucoup de gens, que tu ne qualifierais pas forcément d'amis mais de connaissances, c'est plutôt facile de se sentir bien avec toi, peut-être parce que tu paraîs détendu et souriant aux premiers abords. Tu n'es pas du genre à jeter son dévolu sur quelqu'un, sauf si vraiment tu n'es pas de bonne humeur. Je sais pas quoi dire d'autre, t'es un adolescent comme les autres, avec des problèmes normaux pour un gens de ton âge, qui se prend un peu la tête et surtout qui rêve trop vite. Qui rêve trop tout court en fait. Ah, et t'as aussi un but dans la vie. Devenir violoniste ? Oui d'une part, mais surtout. Bouger ton meilleur ami, aka Rui. Et c'est une mission très périlleuse, mais vraiment.  
1m65▲ 57kg▲ châtains foncés, reflets plus clairs au soleil, logique non ▲ marrons, tirant sur le vert selon la luminosité, toujours ▲ euh- normal, 'fin il est pas pâle quoi ww ▲ chocolat chaud ▲ il a toujours son étui de violon sur l'épaule ▲ si bien que parfois il en oublie son sac de cours ▲ il a des bandages sur la main droite à force de jouer ▲ il essaie de paraître ikemen parfois ▲ sauf que sa taille l'en empêche ▲ a tendance à sortir son violon à n'importe quelle occasion qui se présente ▲ même s'il préfère jouer la nuit, dans une plaine ou un random champ ▲ il tripote la lanière de son étui quand il est nerveux ▲ et il rougit très facilement aussi ▲ et il est supah pas fab du tout ▲ il joue beaucoup à user sa ventoline pour rien ▲ sauf qu'après il déprime quand il peut pas aller en acheter d'autre
Je vous le dit direct, son histoire est pas du tout une prise de tête. C'est juste un gosse qui a vécu sa vie et pouf, adolescence. Ah, ce serait cool quand même.

Ayato, Ayato, t'as pas eu de bol, à peine t'es né que tout le monde se fichait de toi. C'était quoi ses grands yeux tout curieux alors que tes frères et sœurs avaient l'air aussi blasé que mister Pokerface ? Enfin bref, ça faisait pas mal rire ta famille. Dès ton plus jeune âge, tu t'étais mis au sport et au violon, parce que bon, ton frère faisait du piano, ta sœur de la flûte traversière, donc il fallait que bien que tu essaies quelque chose – disons que ta famille avait assez les moyens aussi. T'en avais essayé plein ! Le foot, le rugby, le baseball, le basket, mais tu t'étais arrêté sur le hand et le volley. Même si tu n'étais pas très doué, et que tu revenais toujours en disant « Aujourd'hui, je me suis pris le ballon dans la tête. Encore. », tu te donnais à fond, avec l'espoir de devenir comme ces champions que tu voyais à la télé. C'était ton rêve de gosse. A l'école aussi, ça se passait plutôt bien, t'avais des amis que tu embêtais toujours et qui te le rendaient bien, mais le seul inconvénient, c'était tes résultats. Et tes parents te le faisaient bien comprendre. A chaque fois, tu avais tout juste la moyenne, ou bien en dessous. C'est sûr que par rapport à ton frère et ta sœur, tu te situais tout en bas de l'échelle. Le seul moment où ils étaient fiers de toi, c'était à ton retour des concours que tu gagnais avec ton instrument. Mais on ne pouvait pas tout avoir dans la vie. Haha-. En fait, toi, t'avais été maudit à ta naissance. Dès le début t'étais pas comme les autres, du coup, ton existence s'est sûrement dit que, quitte à l'être au début, autant l'être jusqu'au bout.

T'avais quoi... Douze ans ? L'anxiété s'était emparé de toi juste avant ton passage pendant un concours de violon. Tu sentais ton cœur battre vite, trop vite, tu commençais même à croire que ce n'était pas normal. Du tout. Tu sentais ta tête tourner, mais tu pouvais pas reculer, il fallait que tu fasses avec. L'angoisse te gagnait peu à peu avec l'incapacité que tu avais à repérer tes parents dans la salle. Ils y étaient, tu le savais, mais impossible de savoir où. Un bouton de chemise défait, puis deux, il fallait que respires, tu sentais ton souffle se raccourcir alors que le pianiste attendait le signal, que tu donnas faiblement. L'introduction de la chanson résonnait dans ta tête, croyant qu'elle allait exploser. Puis tout fut très rapide. Trop même. A peine ton archet toucha les cordes que ton cœur te fit extrêmement mal. Et plus rien. Tout c'était évanoui. Toi compris. La salle était paniquée, tes parents ne savaient plus quoi faire, mais toi t'en savais rien. Parce que tu étais inconscient.
Le pire, c'est que ce n'était pas la première fois que tu avais ressenti ce genre de sensations. Des étourdissements, le cœur qui bat si vite que ça en devient douloureux, une sensation de faiblesse. Sauf que tu n'avais rien dit. Dans ces moments-là, tu t'isolais. Tu ne voulais pas que l'on te voit dans un tel état, si piteux, si déplorable, alors que ton frère et ta sœur brillait. Tu avais eu vent de problèmes cardiaques dans ta famille, mais de là à croire que toi aussi...

Tu enchaînais de plus en plus les aller et retour à l'hôpital après cet incident. Tu passais constamment des examens, tachycardie, qu'ils disaient. Pour toi, ça voulait rien dire, c'était juste un mot compliqué pour qualifier une maladie compliquée. Mais tu ne pensais pas que ça pouvait à ce point-là affecter ton quotidien. Après ton diagnostic, tachycardie ventriculaire confirmée, tu avais l'impression de te retrouver devant un mur. Plus le droit de faire du sport, plus le droit aux sensations fortes, à tout ce qui pouvait faire accélérer soudainement ton rythme cardiaque en fait. Et tu le vivais mal. Parce que tu avais besoin de bouger, te dépenser pour essayer d'oublier cet handicap. Sauf que tu pouvais pas. Tes parents avaient donc cet espoir que tu t'investirai un peu plus dans tes études. Haha-, ils étaient mignons. Tu n'avais plus le sport, mais tu avais encore le violon. C'était devenu ton activité favorite, ce pourquoi tu souriais toujours. Tu l'emmenais partout, même au collège. Et ça pendant les quelques années qui suivirent. Puis un deuxième épisode de tachycardie. Cette fois, les médecins, avec l'accord de tes parents et le tien (qui restait très suggestif, à 13 ans et demi, tu comprenais un peu plus mais pas aussi bien qu'eux ta maladie) t'implantèrent un défibrillateur cardioverteur implantable, afin de traiter les irrégularités cardiaques. Seulement, ça ne signait pas la fin de tes crises, ni la fin des médicaments – au contraire pour eux d'ailleurs. Séjour à l'hôpital à nouveau, vérification de l'état de ton DCI, dose de médicaments qui augmentaient tout ça te fatiguait, vraiment. Alors tu t'en débarrassait en jouant du violon, en faisant des concours (malgré l'anxiété que ça te procurait, c'était un sentiment que tu avais finit par aimer, qui te montrait que ton cœur marchait relativement bien).

Puis c'est à ton entrée au lycée, tu réalisais enfin la gravité de la maladie. Parce que tu t'étais renseigné comme il fallait. Tu comprenais que tes jours n'étaient pas vraiment comptés, mais c'était tout comme. Un épisode plus violent que les autres, et même avec ton DCI, ça pouvait t'être fatal. Alors tu as décidé de tout envoyer en l'air. Tu t'es inscrit dans le lycée de MekakuCity plutôt que celui proche de chez toi, tu es devenu membre de l'équipe de hand après avoir supplié ton médecin de te donner une ordonnance et en assumant tes actes, soit faire de plus en plus d'aller retour dans son cabinet pour vérifier l'état de ton cœur et passer plus d'examens que prévu. Mais un élément te raccrochait toujours à la triste réalité. C'était la personne la plus insignifiante aux yeux des autres, mais pas pour toi. Tu trouvais qu'il était plus terre à terre que n'importe qui, toujours à te rappeler que la vie, c'était compliqué, que ta situation était instable. Rui, il te permettait de garder les pieds sur terre, de te faire prendre conscience que tu faisais sûrement une énorme connerie à te dépenser comme ça. Mais tant pis, tu voulais profiter. Et ça, il t'en empêchait pas. Il n'était pas comme tes parents, et c'était comme une libération. Vraiment. Enfin, enfin tu allais pouvoir faire ce que tu voulais de ta vie. Ca faisait longtemps.
code © perry sur apple-spring ▬ 2014


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